Mixte sur toile de 19,5 x 33 cm. Cette ébauche réalisée hiers à failli partir à la poubelle, finalement je la garde, elle est ce qu'elle est, elle existe. Je ne suis pas à l'aise avec les petits formats, ça demande un travaille minutieux et la minutie... Ce n'est pas mon fort! Je n'ai d'ailleurs pas le matériel pour ça, ni la patience: Ça m'ennuie, il n'y a pas l'aspect gestuel que j'affectionne. Je l'ai reprise aujourd'hui 26 Février et je suis plus satisfait du résultat.
12.2.12
losing my mind
Mixte sur toile de 19,5 x 33 cm. Cette ébauche réalisée hiers à failli partir à la poubelle, finalement je la garde, elle est ce qu'elle est, elle existe. Je ne suis pas à l'aise avec les petits formats, ça demande un travaille minutieux et la minutie... Ce n'est pas mon fort! Je n'ai d'ailleurs pas le matériel pour ça, ni la patience: Ça m'ennuie, il n'y a pas l'aspect gestuel que j'affectionne. Je l'ai reprise aujourd'hui 26 Février et je suis plus satisfait du résultat.
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Contrairement à vous, j'aime cette toile.
RépondreSupprimerElle me fait penser à moi et pourrait illustrer ce que je ressens: avoir cette impression de ne jamais vraiment vivre la vie pour laquelle je suis fait, marcher parallèlement à mon destin sans jamais le croiser... Pourtant les apparences sont là (la chemise représente pour moi la vie en société): j'ai un boulot, je vis en couple, j'ai des amis, de la famille... Mais elles sont trompeuses: j'ai parfois l'impression d'être vide, comme votre personnage.
Votre tableau me fait aussi penser à ces peintures religieuses du Moyen Age, où l'on voit des saints décapités qui continuent de marcher. Cette toile a un petit côté mystique, iconographique.
Un conseil: ne la jetez pas!
Si vous l'avez peinte, c'est qu'il y a une raison. Laissez le temps agir, et peut-être reviendrez-vous dessus ou vous la conserverez en l'état. Qui sait ?
Tout à fait d'accord avec vous, je la garde. Je la reprendrai certainement un jour mais seulement pour le rendu du personnage, je ne vais pas changer la composition. Je partage votre sentiment de "marcher parallèlement à mon destin sans jamais le croiser", et ça me touche de vous lire, de voir qu'elle vous parle, même si j'aurai préféré que vous ne vous sentiez pas ainsi.
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